Envie de changer ?

fleur croitre vers le ciel

La vie n’est pas un long fleuve tranquille pour la grande majorité de nous tous. Les problèmes font parties de l’existence, tout le monde en rencontre un jour ou un autre à des degrés différents.

Aux questions qui reviennent souvent. Pourquoi est-il si difficile de gérer ses émotions et de changer ses comportements quand c’est nécessaire ? Pourquoi une forte volonté n’est-elle pas suffisante pour atteindre ses objectifs et pourquoi changer  prend-il  autant de temps ? Faut-il passer son temps à se battre et à souffrir pour finir par mourir ? Je me suis alors posée alors bien d’autres questions car cette manière de vivre relève plus de la survie que de la vie elle même. Quel est le problème de notre humanité et de notre cerveau à la source de nombreux problèmes ? Si je devais poser en deux mots les deux racines majeures qui nous animent profondément, deux émotions s’opposent, la peur et l’amour. La peur peut déstabiliser complètement une personne et la conduire à prendre des décisions allant à l’encontre de son bien-être, tandis que croire en Soi et la force de l’amour transforment l’énergie négative en force créatrice et positive jusqu’à remporter la victoire. L’ombre ne peut pas ternir la lumière mais la lumière transforme l’obscurité en lumière.

Alors à la question, peut-on changer ? Oui, il est possible de changer. Notre cerveau est malléable et sollicité, est à même de modifier nos perceptions, nos émotions et notre vision pour répondre au mieux à ce que nous voulons vivre. Nous sommes dotés de pouvoirs naturels pour nous aider, mais rares sont les écoles de la vie qui nous apprennent à solliciter nos neurones positivement.  

Notre cerveau inconscient nous offre les moyens de changer, celui de nous reprogrammer, tandis que notre Conscience est celle de nous éveiller à une autre dimension plus holistique pour percevoir le monde au-delà de notre lorgnette habituelle et au-delà de nos idées limitantes sur ce que nous sommes vraiment.

« L’optimisme vient de Dieu, le pessimisme est né dans cerveau de l’homme ».

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