d'être heureux ».
Nadine Ardoin-Viardot - Hypnose Dijon
Avec presque deux décennies d’expérience en pratique privée d’hypnothérapeute à Dijon, mon parcours vers cette profession a été profondément influencé par mes expériences personnelles, poussée à explorer profondément les capacités de l’esprit, me menant vers l’hypnothérapie comme moyen d’aider les autres à s’éveiller à leur véritable soi.
Mes services incluent la psychothérapie, l’Hypnose Ericksonienne, l’Hypnose Humaniste, le coaching avec la Programmation Neuro-Linguistique (PNL), et des ateliers. Ces offres sont conçues pour répondre à diverses indications, soulignant l’adaptabilité et l’approche personnalisée de l’hypnothérapie pour répondre aux besoins individuels. Ma pratique met l’accent sur le processus thérapeutique de l’hypnose, en expliquant ses mécanismes, applications et les bénéfices uniques qu’elle peut apporter à différents individus.
Je propose des rendez-vous du lundi au samedi, je veux que mes services soient accessibles à un large public, incluant adultes et étudiants, à Dijon.
Pour ceux intéressés à explorer l’hypnothérapie à Dijon, ma spécialisation en psychothérapie par hypnose Dijon vise non seulement à résoudre les préoccupations immédiates, mais aussi à autonomiser les individus à découvrir leur potentiel intrinsèque pour le bonheur et l’accomplissement.
Qu’est-ce que l’hypnose et comment peut-elle m’aider ?
L’hypnose est une technique thérapeutique qui permet d’atteindre un état de conscience modifié pour explorer et résoudre des problèmes psychologiques, émotionnels ou comportementaux. Elle peut aider dans de nombreux domaines, tels que la gestion du stress, l’anxiété, les phobies, les troubles du sommeil, la douleur, et bien d’autres.
Quelle est la différence entre un hypnothérapeute, un hypnotiseur et un psychothérapeute ?
Un hypnothérapeute à Dijon est un professionnel formé à l’utilisation de l’hypnose à des fins thérapeutiques. Un hypnotiseur à Dijon peut se référer à quelqu’un qui pratique l’hypnose, souvent dans un contexte non clinique (comme le spectacle). Un psychothérapeute à Dijon est un praticien qui traite les problèmes psychologiques par des moyens thérapeutiques, y compris, mais pas exclusivement, l’hypnose.
La psychothérapie par hypnose à Dijon est-elle efficace pour tout le monde ?
La psychothérapie par hypnose à Dijon peut être très efficace pour de nombreuses personnes. Cependant, son efficacité varie d’une personne à l’autre. Une consultation préliminaire peut aider à déterminer si cette approche est adaptée à votre situation personnelle.
Combien de séances sont nécessaires ?
Le nombre de séances varie selon l’individu et la complexité de la problématique à traiter. Certaines personnes ressentent des améliorations significatives en quelques séances, tandis que d’autres peuvent avoir besoin d’un suivi plus prolongé.
Comment puis-je prendre rendez-vous ?
Vous pouvez prendre rendez-vous en me contactant directement via les coordonnées fournies sur le site web. Les séances sont disponibles du lundi au samedi, avec des horaires flexibles pour s’adapter à vos besoins.
Quel est le coût d’une séance d’hypnothérapie ou de psychothérapie à Dijon ?
Les tarifs peuvent varier en fonction du type de séance et de la durée.
Est-ce que l’hypnothérapie peut remplacer un traitement médical ?
Bien que l’hypnothérapie puisse être un complément efficace à un traitement médical, elle ne doit pas remplacer les conseils ou traitements prescrits par un professionnel de la santé. Il est important de consulter un médecin pour toute question médicale.
Ces questions fréquentes visent à éclairer ceux qui envisagent l’hypnothérapie ou la psychothérapie à Dijon. Pour toute question spécifique ou pour commencer votre parcours thérapeutique, n’hésitez pas à me contacter.
Qui suis-je ?
Depuis presque 20 ans, j’exerce en cabinet privé à Dijon. Jeune et suite à un coma profond, j’ai fait l’expérience d’une mort imminente que l’on nomme EMI ou NDE. Cette expérience sera pour moi un déclencheur qui m’amènera à me poser des questions sur les possibilités de l’esprit. Plus tard, d’autres expériences de cette nature me décideront à choisir un métier proche de mes inspirations, d’où l’hypnothérapie à Dijon. Des années d’accompagnements de personnes en fin de vie ont fortifié mon idée que les difficultés sont un moyen de nous éveiller à ce que nous sommes vraiment. Après réflexions, il me fallait un métier répondant à mes aspirations, je me suis donc orientée naturellement vers l’hypnose, en Programmation Neuro-Linguistique et en coaching.
– « Il y a une lumière que rien ne peut éteindre »
Du lundi au vendredi : de 9h à 18h
Le samedi : de 9h à 12h30
La séance dure environ 1h15.
Il est possible de prendre rendez-vous entre 12h et 14h.
Adulte : 75 euros
Enfants et étudiants : 65 euros
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Apprendre à gérer son hypersensibilité.
L’hypersensibilité est un trait de caractère de plus en plus connu. La personne est connectée à ces émotions de manière plus importante que d’autres. La fatigue, le stress créer un trop plein d'émotions qui peuvent submerger et le laps de temps est alors plus important pour se remettre de ses émotions. Souvent, ces personnes sont plus intuitives mais cela est difficile à décrypter. Un besoin d'isolement, d'apaisement voire même de pleurer permet la décharge émotionnelle car c'est un réel besoin. Cependant, l'hyper sensibilité peut-être fatigante voire dérangeante et non comprise des autres.
L’hypnothérapie permet de se protéger de sa sensibilité tout en gardant toutes les caractéristiques et bénéfices de ce trait de caractère🍀
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Revue Médical Suisse HYPNOSE ET TROUBLES ANXIEUX
ARTICLES THÉMATIQUES : PSYCHIATRIE DE LIAISON
17 février 2010-Daniel Smaga-Nicole Cheseaux- Alain Forster- Denis Rentsch- Nicolas De Tonnac- Stefano Colombo
RESUME
Cet article décrit quelques applications de l’hypnose comme technique efficace dans la prise en soins de patients souffrant de troubles anxieux.
L’hypnose peut d’abord être utile pour viser un meilleur contrôle de l’anxiété par la relaxation.
Elle permet également d’anticiper un événement phobogène. Troisièmement, elle est décrite comme technique de mentalisation et d’intégration d’un vécu traumatique permettant de prévenir des symptômes anxieux post-traumatiques.
Introduction
L’hypnose est une très ancienne technique de thérapie en médecine et en psychothérapie dont on retrouve des éléments dans les procédés de guérison utilisés par les Sumériens 3000 ans avant notre ère.
Elle est associée à un grand nombre de fantasmes, assimilée à un moyen magique de résoudre des problèmes, d’influencer les individus. L’état de transe hypnotique est caractérisé par des signes physiologiques et psychologiques, la modification du rythme cardiaque et respiratoire, un sentiment de paix et de détente. L’attention est focalisée sur une sensation, une image ou un lieu précis. L’hypnotisé reste conscient et tous ses sens sont en éveil. La transe hypnotique induite par le thérapeute est un moment qui appartient au patient. On parle d’état de conscience modifié où l’imaginaire prend le dessus avec la possibilité de transformer un contexte négatif en quelque chose de positif. Avec ses limites, jamais sans risques, l’hypnose est un outil thérapeutique dans les mains du patient, une technique où l’hypnotiseur fournit à l’hypnotisé les «outils» pour construire son mieux-être.
Les symptômes primordiaux des troubles anxieux sont le déclenchement par des situations ou des objets bien précis (externes au sujet) d’une sensation de peur sans dangerosité actuelle. Son intensité peut varier d’un sentiment d’insécurité à la terreur. Les préoccupations du sujet peuvent être centrées sur des symptômes isolés tels que des palpitations ou une impression d’évanouissement et aboutissent souvent à une peur de mourir, de perdre le contrôle de soi ou de devenir fou. L’anxiété n’est pas atténuée par le fait de savoir que la situation en question n’est pas considérée comme dangereuse ou menaçante par les autres. La simple évocation d’une situation phobogène déclenche habituellement une peur anticipatoire. La peur focalise l’attention du sujet qui ne parvient plus à prendre de la distance et du recul face à ses craintes. L’espace psychique du sujet est entièrement envahi par l’anxiété.
Abord des troubles anxieux par l’hypnose
L’hypnose peut être utilisée comme une thérapie de soutien visant avant tout la relaxation pour un meilleur contrôle de l’anxiété. Elle est également efficace pour anticiper et contrôler les affects liés à l’événement anxiogène, ou comme technique intégrative d’un vécu traumatique.
Ces différentes utilisations de l’hypnothérapie peuvent être exclusives ou complémentaires.
Pour les troubles anxieux, l’induction lente par fixation d’un point dessiné sur la main est souvent la mieux indiquée. Elle permet au thérapeute de réconforter le patient sur sa capacité à préserver un contrôle sur ce qui se déroule durant l’induction et de le rassurer en insistant sur le fait qu’il reste conscient, qu’il est dans un cadre de consultation, qu’il continue à percevoir tout ce qui l’entoure. Il peut ainsi se détendre en toute sécurité.
Cette forme d’induction est particulièrement utile chez les patients présentant une forte anxiété se manifestant par un état de perpétuel «qui-vive», d’une plus grande nervosité et de réactions de sursauts exagérées.
L’hypnose comme thérapie de soutien pour le contrôle de l’anxiété
L’usage de l’hypnose comme thérapie de soutien pour le contrôle de l’anxiété permet au patient d’avoir un meilleur contrôle sur les symptômes anxieux. Les patients qui souffrent de syndrome de stress post-traumatiques, par exemple, ou les patients ayant vécu des violences dans l’enfance entrent spontanément dans des états dissociatifs similaires à l’état de transe hypnotique. On peut suggérer au patient qu’il a un talent pour l’hypnose. Il peut utiliser ce talent à son profit. Malgré son mal-être initial, il peut se détendre et vivre une expérience de relâchement, de bien-être dans son corps en toute sécurité. Cette expérience contraste avec son vécu habituel de tension intérieure. La lévitation du bras comme les expériences d’anesthésies ou d’engourdissements d’un doigt ou de la main sont utilisées pour confirmer cette capacité de contrôle sur une partie de sensations qu’il rencontre au travers de son corps. L’hypnose permet de faire vivre au patient une expérience immédiate de bien-être et de sérénité dans l’ici et maintenant. Ce vécu sensoriel différent renforce la possibilité d’envisager un changement.
La base de la technique hypnotique inclut la relaxation, la possibilité de focaliser son attention sur un lieu sûr (safe place en anglais) et des suggestions. Durant la première séance, la recherche de ce lieu sûr et relaxant permet d’ouvrir un espace où le patient se sent protégé des pensées intrusives dont il souffre. Cette utilisation élémentaire de l’hypnose aide le patient à se relaxer et à augmenter son sentiment de bien-être. Dans cette optique, l’hypnose est considérée comme une thérapie plutôt palliative que curative.
Les rôles respectifs du thérapeute et du patient évoluent habituellement au cours du traitement, généralement limité à quelques séances. Si, au départ, le patient a souvent une position passive face aux consignes du thérapeute qui le guide par ses suggestions, l’enseignement de techniques d’autohypnose vise à lui permettre d’être rapidement autonome dans sa pratique. Le thérapeute passe ainsi du statut de guide à celui d’accompagnateur, jusqu’à ce que sa présence ne soit plus nécessaire. L’acquisition de cette capacité à se détendre en rejoignant par la pensée un lieu sécurisant offre au patient une ressource précieuse qui participe souvent à une restauration du sentiment de sécurité, de confiance en soi mais aussi fréquemment d’estime de soi.
Cette nouvelle ressource peut devenir un moyen efficace de lutter contre l’anxiété.
L’hypnose comme technique pour anticiper et faire face à un événement phobogène
Dès que le patient a bien investi le traitement hypnotique et établi une relation de confiance avec le thérapeute, l’hypnose peut servir à l’aider à anticiper un événement phobogène.
Une technique consiste à lui suggérer qu’il peut vivre l’événement anxiogène par l’intermédiaire d’un écran de télévision, par exemple, où il voit un film relatant la situation anxiogène En début de séance, on fait tester ce système en lui suggérant qu’il a la télécommande de la vidéo dans la main et qu’il peut à tout moment arrêter l’image et se retrouver dans un lieu sûr et réconfortant. Le patient raconte alors ce qu’il voit sur l’écran. La relation thérapeutique joue un rôle essentiel dans ce type de travail. Le patient doit se sentir particulièrement en confiance pour parvenir à surmonter son anxiété. Il doit être convaincu que le thérapeute joue un rôle à la fois protecteur et bienveillant. Le thérapeute ne cherche pas à tout prix à faire imaginer l’événement phobogène. Il aide le patient à pouvoir maîtriser son vécu d’impuissance et de peur qui le hante. Une première vignette clinique décrite par le Dr Nicole Cheseaux illustre ce processus.
Vignette clinique 1
Madame X. qui doit bénéficier d’une tumorectomie sous anesthésie générale précédée d’un bilan d’extension en médecine nucléaire est adressée par son chirurgien à la consultation d’hypnose dans le Service d’anesthésiologie des HUG. En effet, cette patiente présente une anxiété majeure lors de confinement. Suite à une expérience passée traumatisante, la patiente a développé une phobie des ascenseurs, des transports publics et de tout espace restreint comme le scanner, l’IRM ou encore le masque à oxygène de l’anesthésiste. Elle accepte l’éventualité d’un traitement par l’hypnose proposé par son chirurgien.
La première consultation a lieu environ un mois et demi avant l’intervention. Après une anamnèse médicale détaillée et une discussion cadrée sur ses ressources, ses hobbies et sur la description de ses perceptions corporelles en lien avec la difficulté, le thérapeute explicite et valorise ses compétences qui lui avaient permis de créer «des exceptions» face au stimulus anxiogène. Des objectifs progressifs sont codécidés au fil des quatre séances programmées. Lors de cette consultation, en privilégiant le recadrage de la difficulté, le renforcement des ressources internes et l’introduction de la notion de plus petit changement significatif, le thérapeute utilise la communication hypnotique appelée aussi «hypnose informelle».
La deuxième consultation privilégie la relaxation corporelle et la construction du safe place (endroit de sécurité, calme et confortable choisi dans les souvenirs ou imaginé par la patiente). La patiente glisse en hypnose suite à l’utilisation des outils hypnotiques proposés : une induction par fixation d’un point (canal sensoriel visuel) associée à la focalisation sur sa respiration (canal sensoriel cinesthésique).
Lors de la séance suivante, la patiente est amenée à se projeter dans le futur en vivant sous hypnose son déplacement de sa chambre, dans l’ascenseur et jusqu’au bloc opératoire. La patiente est ainsi exposée à sa difficulté comme lors d’une désensibilisation en allergologie (métaphore). Dans son état hypnotique, la porte de l’ascenseur reste fermée et elle ne peut pas entrer dans l’ascenseur. En fin de séance, la patiente verbalise que quelles que soient les circonstances elle ne pourrait pas y entrer. La séance se poursuit par l’apprentissage de l’autohypnose en créant également des ancrages physiques de «calme», «concentration», «confiance» et «contrôle». A la quatrième et dernière séance en autohypnose et après avoir activé les ancrages physiques, la patiente entre réellement dans l’ascenseur accompagnée du thérapeute ; c’est le principe d’immersion. Surprise et fière de son succès, elle a pu affronter avec calme les investigations en médecine nucléaire, l’opération, l’anesthésie et surtout le transport en ascenseur, qu’elle ne prenait plus depuis 40 ans.A
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